Seylech (Charles) Leuthard, Künstler des Lichts.

04.06.2020

85e commentaire, Brienzwiler

Le feu, ça brûle!
Le samedi de Pentecôte aux environs de 22h15, la police est devant la porte de notre maison et nous indique qu’il y a le feu dans notre jardin forestier. Notre cabanon de jardin est en proie aux flammes. Les pompiers sont déjà sur place en train d’éteindre l’incendie. Nous nous mettons tous en route pour rejoindre cet abri et pour inspecter la situation. Une fois le choc passé, nous pouvons constater les dégâts.

Comme souvent, nous avons pris le repas du soir autour d’un feu. Une étincelle a dû s’infilter quelque part dans le vieux bois de l’abri et bouronner jusqu’à ce que le vent y mette du sien pour en arriver à des flammes et à un incendie, C’est ce qu’un pompier expert du coin a pensé le lendemain matin.

Un feu de Pentecôte ! C’est un symbole de l’illumination et de la transformation.

Nous, et moi également, sommes soumis au processus naturel de la vie. Nous absorbons toujours plus de lumière et nous nous débarassons de l’ancien.