Seylech (Charles) Leuthard, Künstler des Lichts.

26.02.2019

71e commentaire, Meiringen

Ce matin, j’ai rampé hors du lit à quatre pattes. J’avais des douleurs incroyables au sacrum. C’est grâce à un bâton que j’ai pu me mettre droit et que j’ai réussi à aller jusqu’à la salle de bain. Il était 4h30. J’ai eu besoin d’une demi-heure pour m’habiller. J’ai dû me coincer un nerf hier en travaillant le bois dans la forêt. Grâce aux mouvements et au fait de marcher, je vais un peu mieux.

Le matin, je travaille très tôt. Dans l’atelier, ce sont d’abord les soleils de cristaux et les œuvres de la nature qui voient le jour.

Dernièrement, Franziska a relevé que presque 30 œuvres ont été créées ces deux derniers mois et que je pouvais aller au travail un peu plus détendu. C’est vrai, mais une partie de moi-même est constamment inspirée et est sous tension. Je pense sans cesse à l’art, du matin au soir, et je vois des possibilités qui pourraient être mises en œuvre.

Si cela continue ainsi, il est possible que je devienne unique.